Archives mensuelles : avril 2012

Lune de miel

Bande de petits coquins, je suis sûr que vous vous demandez comment s’est passée la nuit de noces après 18 ans de vie commune. Et bien vous n’allez pas être déçus, j’ai même pris une photo pour satisfaire votre curiosité. Monsieur est à gauche et Madame à droite :

Bref, en un mot : TORRIDE !

(Pe)Guy(sue) got married

J’ai beau me dire que cela fait 18 ans que l’on vit ensemble, ça fait quand même tout bizarre d’aller étaler sa vie privée devant M. le Maire. Et encore, j’ai réussi à éviter le curé, le pasteur, le pope, le rabbin, le mollah, le mufti et le gourou. Mais bon, va falloir mettre ça demain :

La bonne nouvelle, c’est que je l’avais fait faire sur mesure il y a 10 ans en Thaïlande, et qu’il me va toujours. Je suis même un peu plus à l’aise il me semble. Par contre, il faudra que me gaffe cette fois-ci, même s’il pleut, à ne pas mettre les chaussures de chez Landi.

Dernier jour

Vendredi passé, c’était mon dernier jour de boulot. J’avais naïvement imaginé que cela allait être assez tranquille, petit café avec les collègues, dîner avec (et offert par) mon chef petits rangements, puis formattage de mon PC et remise de mon badge et de mon flingue mes clés. Et bien cela ne s’est pas exactement passé comme ça…

Premièrement, je me suis retrouvé avec des changements de dernière minute à effectuer dans l’infrastructure (les routes statiques pour ceux à qui cela signifie quelque chose), et comme c’est une opération qui peut impacter passablement de monde (2000 personnes potentiellement), il y a plutôt intérêt à être prudent. Bref, c’était râpé pour le petit café.
J’ai ensuite attendu mon chef pour aller manger, mais il était coincé dans une (inter)minable séance, puis a dû partir en catastrophe pour des raisons privées. Mais ça je ne l’ai appris qu’à 13h30. Comme je commençais très sérieusement à avoir les crocs, et que tous ces évènements influaient fort négativement sur mon humeur, j’ai finalement opté pour aller manger ce qui était susceptible de rester à des heures pareilles à la cafétéria. Mon chef a finalement débarqué alors que je terminais mon escalope de dinde sauce oignons (ça aurait dû être saucisse de veau, mais c’était trop tard, j’ai donc eu un mixte entre les restants des deux plats du jour), et me confie qu’il est désolé, mais qu’il n’a pas le temps de réceptionner mon matériel, son (inter)minable séance se prolongeant l’après-midi.

Je suis donc remonté dans mon bureau pour terminer mes cartons, et alors que j’étais prêt à laisser mes clés et mon badge d’accès sur le bureau de mon chef, je me suis rendu compte que j’en avais besoin pour ouvrir la porte du garage et charger mes cartons dans ma voiture… J’ai donc gardé mes sésames, et suis descendu charger les 12 ans de reliques sacrées dans le véhicule. Tout finira sans doute à la poubelle une fois à la maison, mais bon, pas possible de tout jeter maintenant, c’est trop dur…

Voilà, aujourd’hui je me retrouve avec mon coffre de voiture rempli de bordel, et il faudra tout de même que je repasse encore une fois au bureau pour rendre mon badge !

 

Nouveau départ

Ce blog continue donc www.solarie.ch dans ma nouvelle vie. D’où le nom d’ailleurs, qui se lit comme « IT to PADI », c’est-à-dire passage de « Information Technology » à « Professional Association of Diving Instructors ». Vous y trouverez ici les états d’âme et anecdotes liée au changement de vie d’un ex-responsable de la sécurité informatique à la Radio Télévision Suisse vers un instructeur de plongée sur une île du Golfe de Thaïlande.
Il y avait d’ailleurs eu un précédent : lors d’un congé sabbatique en 2011, j’avais consigné les étapes de mon Divemaster sur www.geekotao.ch, et vous retrouverez ces posts importés dans ce présent blog. Pour simplifier les choses, j’ai décidé de ne m’occuper désormais plus que de www.it2padi.com, ça fera toujours ça de noms de domaines de moins à gérer !

Comme je ne suis pas fan ni de Facebook ni de Twitter, ce blog est aussi un moyen pour moi de garder contact avec mes amis d’Europe et d’ailleurs, c’est pourquoi vous y trouvez dans les menus à droite les outils de traduction. Il s’agit bien sûr de traduction automatique, et le résultat est parfois… poétique !

Concrètement je vais donc partir début mai, le temps de finir encore les 1012 paperasses et autres joyeusetés administratives qu’il me reste à faire, et vais travailler comme Divemaster à Sailrock Divers. Je vais passer le plus rapidement possible mon brevet d’instructeur, ce qui devrait me permettre d’augmenter mon revenu en certifiant des plongeurs, ce qui est somme toute le cursus standard d’un Divemaster. Selon le pognon engrangé, je reviendrai à la fin de l’été pour embarquer Madame, qui prend une année sabbatique, et pour louer momentanément la maison. On fera le point ensuite après une année pour voir comment on s’en sort.

J’espère que vous aurez du plaisir à me lire, et me réjouis d’ores et déjà de répondre à vos commentaires depuis mon laptop sur la plage !