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Whilix

Alors lui, c’est mon Whilix. Il s’appelle comme ça, parce que c’est un mélange des chats top-models que l’on voit sur les boîtes de Whiskas et de Felix. On le surnomme aussi Gégé, c’est moi noble, mais c’est vrai qu’il a un certain côté Depardieu (surtout l’embonpoint depuis qu’on l’a castré).

Whilix

Il habitait ici avant moi, et c’est un peu le big boss de la zone; dur à cuire, un peu vindicatif, il ne se laisse pas marcher sur les moustaches. Mais il a deux potes avec lesquels il s’entend super bien : Belphégor (son copain ténébreux et top model) et Oula (à mon avis une ancienne conquête du temps où il en avait dans le slip). Aux dernières nouvelles, quand je ne suis pas là il s’est fait ses habitudes dans le lotissement, et un certain nombre de personne le nourrissent sans discuter.

Mais je dois dire que chaque fois que je rentre et que je le trouve sur mon balcon, c’est un vrai bonheur. Déjà, il a une toute petite voix de fausset qui ne cadre pas du tout avec son physique de baroudeur. Et puis surtout, il est mon alter ego félin : c’est un rude gaillard avec un coeur d’artichaud. Il roule les mécaniques, mais il adore les gratouillis sous le menton. Moi aussi je suis un dur à cuire, et pas question de s’attendrir sur un chat. Alors on a un accord tacite : quand il n’y a personne en vue, on se fait des séances de câlins, monsieur ronronne, et moi je lui dit des trucs idiots, mais dès que quelqu’un se pointe (humain ou félin), tout redevient normal : franche camaraderie virile, non mais ! Ni lui ni moi ne sommes des fiottes, qu’on se le dise !

Rencontre du 3ième type

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Alors à gauche, c’est Titi. Il a 45 ans, et je viens de le retrouver au fond d’une boîte en faisant du rangement. Il fut le fidèle compagnon de mes chagrins et de mes joies pendant de nombreuses années il y a bien longtemps. Je lui avais même tricoté main une écharpe pour remplacer le noeud papillon qu’il arborait fièrement à l’origine mais qui n’a pas résisté très longtemps au flots d’émotions que je lui infligeais.

A droite, c’est Gribouille. Il a 6 ans, et je le retrouve tous les soirs sur mon canapé. Il est le fidèle compagnons de mes chagrins et de mes joies (avec ses deux collègues minettes aussi bien sûr) et le sera pendant de nombreuses années. Il avait au début un collier, mais il n’a pas résisté aux exploits simiesques de Gribouille dans les arbres. Et je ne sais plus tricoter, du coup je ne lui ai pas fait une écharpe pour remplacer. Gribouille ne s’en plaint pas d’ailleurs.

Ce soir, j’ai placé Titi à la place d’honneur sur le canapé, et j’ai l’impression que Gribouille a ressenti toutes les émotions que j’avais pu partager avec Titi; il l’a immédiatement adopté. Il a une sacrée sensibilité, mon Gribouille !

Mon canapé est vivant

Le retour du fils de la vengeance du canapé de l’enfer :

Michel-Ange revisité

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Air de printemps

Il y a comme un air de printemps à Solarie ce week-end :

MiskaPour un retour depuis les tropiques, on ne va pour une fois pas se plaindre de la météo !

La valise

Chut ! Je suis une valise…

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Parachute

Note aux plongeurs : prévoyez deux heures de boulot si vous démêlez votre ligne de parachute en présence de deux chats :

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Caméléon

Oui, en Thaïlande, il y a des caméléons :

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(Des camés-tout-court aussi parfois !)

Les ptits gars

Oui, encore une note sur les chats. Mais bon, je n’y peux rien, spécialement seul ici, quand j’arrive à la maison, mes minets sont là à m’attendre, ou alors à me courrir après le long du chemin tels des chiens fidèles. Et bien que je ne parle qu’en anglais toute la journée, je m’adresse à eux toujours en français et les appelle « mes ptits gars ».

J’ai dû fouiller au fond de ma mémoire pour me rappeller d’où vient ce surnom affectueux. Et bien j’ai finalement retrouvé. Cela vient du cinéma français bien sûr, du film de
et avec Pierre Richard Je ne sais rien mais je dirai tout de 1973.

Je me souviens en particulier de quelques scènes inénarrables comme celle des deux immigrés essayant de s’enregistrer à la préfecture (je crois), et où le préposé Bernard Haller « devient chèvre ».

Oui, je sais, on a la culture que l’on peut, mais les mécanismes de l’inconscient étant ce qu’ils sont, c’est ce qui est spontanément venu.

Depuis que je m’en suis rendu compte, je scrute avidemment les programmes de TV5 Asie en espérant une rediffusion prochaine…

Rubrique littéraire

Au moins il a de saines lectures : 20140112-163221.jpg