Bangkok again

Et bien voila. Cela n’aura pas été très long avant que je ne repasse ma porte de l’Asie. Bien sûr, cette fois je suis tout seul sans ma tendre moitié (qui est devenue mon épouse légitime entretemps), et c’est un peu moins festif, mais tout de même : l’émotion est toujours au rendez-vous.

Outre le fait que je me suis pris 20 bons degrés centigrades (et 50% d’humidité) dans la tronche dès ma sortie de l’aéroport, Bangkok me fait toujours la même forte impression. Côté architecture, on est un peu dans le style New-York, même si Khaosan reste fidèle à elle-même. Mais le truc, c’est l’odeur. Paradoxalement c’est une ville de 13 millions d’habitants qui sent bon. Dès que l’on arrive dans le quartier de Banglamphu, ce sont des parfums d’épices qui envahissent les narines : coriandre, ail, curries, poulets grillés. Une ville entière qui sent comme ma cuisine quand je prépare un curry thaï. Sauf qu’il fait 36 degrés et que les gens parlent avec ces accents tonals si particuliers. Cool malgré tout d’être ici…

Demain on va planifier la migration au sud, mais ce soir ça va être petit curry dans la rue et petit thai bucket en guise somnifère et de remède au jet-lag !

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