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Home sweet home

La rumeur a précédé ce billet, mais effectivement, ma méthode de recherche immobilière s’est avérée payante : j’ai touvé la maison qu’il me convenait et y ait maintenant déménagé depuis peu.

Alors bien sûr, ce n’est pas le palais du sultan, mais c’est une jolie petite maison en bois sur pilotis, de style thaï (je n’allais tout de même pas louer un chalet suisse !), deux pièces-cuisine, située dans une cocoteraie à 3 minutes du centre du village :

J’ai négocié ferme avec le proprio, mais j’ai obtenu l’accès Internet, la clim dans la chambre à coucher, ainsi que l’eau potable (livraison de bouteilles style Eden), le tout à moins de 300.- par mois. Le marché est un peu moins tendu que chez nous…

Alors voici quelques photos, welcome to my place :

Le balcon et l’entrée :

 

Le salon d’apparat :

La chambre à coucher avec la clim :

Et la cuisine :

Accès Internet câblé en caégorie 5E, s’il vous plaît :

A moi les download en Gigabit :

 Ca c’est du patch panel de pro, avec pince à linge intégrée pour garantir le débit ! Mais quoi qu’il en soit, ça marche !

Voilà, je suis un peu en train de prendre mes marques, le matelas est un peu dur, mais je suis maintenant chez moi, c’est une étape importante.

Bangkok again

Et bien voila. Cela n’aura pas été très long avant que je ne repasse ma porte de l’Asie. Bien sûr, cette fois je suis tout seul sans ma tendre moitié (qui est devenue mon épouse légitime entretemps), et c’est un peu moins festif, mais tout de même : l’émotion est toujours au rendez-vous.

Outre le fait que je me suis pris 20 bons degrés centigrades (et 50% d’humidité) dans la tronche dès ma sortie de l’aéroport, Bangkok me fait toujours la même forte impression. Côté architecture, on est un peu dans le style New-York, même si Khaosan reste fidèle à elle-même. Mais le truc, c’est l’odeur. Paradoxalement c’est une ville de 13 millions d’habitants qui sent bon. Dès que l’on arrive dans le quartier de Banglamphu, ce sont des parfums d’épices qui envahissent les narines : coriandre, ail, curries, poulets grillés. Une ville entière qui sent comme ma cuisine quand je prépare un curry thaï. Sauf qu’il fait 36 degrés et que les gens parlent avec ces accents tonals si particuliers. Cool malgré tout d’être ici…

Demain on va planifier la migration au sud, mais ce soir ça va être petit curry dans la rue et petit thai bucket en guise somnifère et de remède au jet-lag !